Hanadi Zarka

TRaduit par
DR.Fawzyya Zoubari

Hanadi ZarkaD'une petite boucle
        A mon Oreille
Et grâce a la prière de ma mère
Je suis sortie du village
Et a la porte de la ville
J'ai perdu la boucle d'oreille
J'ai secoue le tronc du ciel
Et les priers de ma mere
         Sont tombées
         Et une pluie
         A lave l'odeur de la paille et de la terre
         De mon oeil
Une jeune fille déçue
Une jeune fille essoufflé
Une jeune fille belle
Lorsqu'ils m'ont aimée
Je  me suis rendue compte
Je ne me suis desesperee
Mes anciens cahiers se sont gares

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Plus que mon besoin

Des brosses dents
Des cendriers
Des vêtements
Des hommes
Je possède beaucoup de choses
Dépassent mon besoin
Je ne sais a qui les donner
Et avec ma convection qu'elles dépassent mon besoin
Comme un long ongle facile a couper
J'ai peur d'en céder quoique ce soit
Qui diminuerait ma solitude

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Ce que je possède

Des femme
Possèdent
Des maisons
Des époux
Des enfants
Pas de maisons a moi
Pas de mari
 Pas d'enfantt
J'ai les clefs de leurs portes
Et la joie de leur enfants
Et les regards désespères de leurs époux
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Je ne peux pas t'aimer

Je ne peux pas t'aimer
Comme tu le mérite
Car, toi,
Quoi que tu sois le dernier qui aies frappe a ma porte
Tu es plus grand qu'une illusion,
Et toi,
Quoi que tu sois le seul a avoir pénètre l'obscurité de mon âme,
Parfume par l'odeur des enfants
Habite par le badinage de la pluie'
Et moi
Peureuse d'être mouillée,
Je n'arrive pas a t'aimer
Comme je le souhaite
Et moi,
Quoi que je sois la dernière des femmes
A qui tu légueras la palpitation de ton coeur,
Et la chaleur de ton rêve,
Je crains que si tes pores saignent
Que je sorte comme le désespoir,
Et tombe dans le sable.

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Tendance a consommer

Sur la table
Deux coeurs de cire
Ensemble je les ai allumes
Pour qu'ils fondent ensemble.
Je n'étais jamais convaincue un jour
Que je devais finir d'une bougie
Pour que j'allume l'autre
J'allume les bougies toutes ensemble
J'aime les hommes tous ensemble
Ma seule condition en amour
Comment pouvoir les faire fonder ensemble
En même temps
Au même degree

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Hors du troupeau

Tu ne leur ressembles pas
Lépreuse
Corps en friche
L'air s'en enfuit
Chaque foie qu'elle tient la route
Comme s'elle était le dernier oeuf casse
L'étranger
Renie par le troupeau
Puis un certain poil follet
Au dessous de sa peau.

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Interpretation

Autour de moi
Ils propagent
Les futilités
Jettent leurs pains sec
Au dessus de ma tête
Et les oiseux noirs
Au dessus de ma vigne
Mangent le pain
Ils ne me voient pas
Je défais le désir
Grain par grain
Je presse la vigne
Les oiseux de la déception déploient ses grandes ailes
Au dessus de mon soir
Me prévoient des rêves que je ne verrai
Et peureusement
J'entends sa frappe succède a mon corps
Je masse la lumière
Je l'étale sur ma note
Rejetant toute interprétation hors de mon chemin
Je trace un dessin de vigne
Faisant pendre d'elle les grappes
Et je commence a faire le vin.

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Je le remercie pour m'avoir quittée

Il m'a quittée
Comme eux
D'un coup de chance
Je le remercie
Je les remercie,tous
Pour des baisers
Pour des bouquets de fleurs
Qui me viendront
Apres quelque temps.

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Le cercle de la craie

Prenez le
Prenez le
Ne le divisez pas en deux
A l'intérieure de moi, crie une femme
Ayant perdu son enfant
C'est mon bien aime
Je lui fais téter le lait de mes jours
Je l'ai emmaillote avec le départ
J'ai éveille son songe la nuit
Je me suis allumée
Eteint par lui
Une autre femme rayonnant comme le sabre
Crie,
Je t'en donnerai la moitie
Je t'en donnerai la moitie

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Les papiers

Nous déflorons leur virginité
Et nous ne savons pas
Si c'est la douleur
Qui lui les pousse
A déchirer leur silence?
Des papiers
Se disperse au tour de nous
Se penche sur nous
Nous ne leur demandons pas
A quel point
Nous étions froids
Et désespères
Quand nous avons pénètre
Sa blancheur criards

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Lattaquié

Elle était prête
De faire n'importe quoi
Comme s'elle inventait un beau temps
Des cafés
Des rendez-vous
Des amants
Ou comme s'elle épargne une tristesse
Et une pluie légère
Convenant a notre flânerie
Et parfois
Comme s'il était un devoir
Pour qu'elle fait entraîner son air
A nos nez
D'étendre des trottoirs
Pour nos souliers
Il devait a ses arbres
De supporter nos expirations
Et nos désires
De brûler tous ce qui est
Vert et vivant
Tout cela
Ne nous empêche pas
De la quitter
Par
Le dernier wagon

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Des confessions

Une cite étroite
N'est pas assez large pour moi
Ne convient pas a mon petit frère
Tu dois quitter
Tu dois quitter
L'air a devenu sec
Et tu ne pourras plus
De le pousser loin
La cite traîtresse
Elle t'oubliera rapidement
Elle élevé d'autres fils
Leur donne son sein
Elle les étouffe par lui.

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Le scandale

Je les ai vu
Se coller au mur
Marcher
Faire baisser leur haut ciel
J'ai vu le scandale
Je déchaîner
Démolir les murs
Le scandale mérite
Une cite plus vaste.

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Un Miroir

Mince
Comme tu touait
Je m'intéresse a toutes les choses
A ce qu'il convient a une femme que tu aimes
Voila que j'utilise ta brosse a dent
Et ma longue excelle dans la répétition des mots
Tranquillement et d'une manière réfléchie comme tu prétends.
J'aime la même musique
J'acquiers tes livres
J'embrasse les endroits que tu visites
Je te ressemble beaucoup
Tu m'a rendu toi
Je ne lui ai pas promis.

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Des achoppements

Elle n'apprends jamais
Chaque fois qu'elle tombe amoureuse d'un homme
Elle achoppe
Elle n'apprendra jamais
Chaque fois qu'elle achoppe
Elle tombe amoureuse d'un home

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Une rose

Je dis a un homme
Je suis dans ma trentième année
Cela m'inquiète pas
Je ne t'épouserai pas,
Mais ton corps
Dépassent a l'intérieur de moi
Comme une rose.

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Rendre le désordre a sa place

L'homme qui m'attend
M'a laisse une lettre
Moi je range
Viens
Rends le désordre a sa place

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Humectage

Elle rêvait a la pluie
Elle sets reveille mobile

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Gifle


Je t'en prie
Je t'en prie
Cesse de gifler mon désir
Chaque fois qu'il se permet s'emparer de moi
Lorsque je te vois.

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Une femme

Elle sirote sa chaude journée
Et se vêtit son soleil en hâte
Elle a oublie son rouge a lèvre
Sur la tasse de café
Elle est sortie
Comme si elle venait juste de sortir de l'eau
Blanche.......blanche
          Une femme
Elle est la voix de la pluie sur le trottoir
Elle élevé les passants
A l'hauteur de leur rêves
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Un bord

Comme si tu marchais aux bords de ton sommeil
Pour ne pas réveiller la bordure
Sur la bordure
Les vieillards,se sont assis pour compter leur crayons casses
Dans lesquels la couleur du vin c'est asséchée
Peut-être que,lorsque tu allumais une bougie,
Ils avaient fini étendre un rêve
Peut-être que sur un autre bord
Tu espérais
Que les arbres éteignent les lanternes de l'automne
Dans un autre ciel
Dans le ciel voisinant ton étourderie
Les hommes casent impuissants
          De bercer un oiseau dans la niche de tes os

Ils dessinent pour l'air des cerfs volants en papier
Et toi,tu étends le fil de ta solitude
Comme si
Tu ne fais pas attention aux groupes de l'émigration qui passent
Vers le bord
Comme si tu comptes,de nouveaux,
L'odeur de ceux qui sont passes

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Un et nombreux

Tu auras besoin
Plus que les doigts des mains
Pour compter
Mes beau noms
Et que tu ailles dormir
Et que le chagrin l'aurait abandonne
Tu auras besoin de recompter
Chaque fois que tu arrives a mon nom.
Je n'ai pas été une seule femme
J'ai été un orage d'épine
Visqueuse comme le désir
Tranchante comme l'absence
Chaude comme un baiser
Ton corps t'exilera
Le vin de rencontre t'abandonnera
Et te résumera
En un homme a un seul nom
Et un seule visage
Tu l'enterrera sous l'oreiller
Pour que tu puisse dormer

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Juste des voyageurs
Dans un omnibus

Démolir
Il s'informe de tout le monde
Tous reçoivent son baiser
Même les épouses des amis
Moi,seule dont la parte
Est juste un regard
Il ignore une chaise a cote de moi
Et s'assoit au coin le plus éloigne de moi
De mon regard
Il me tourne le dos
Et parle de femmes
 qui l'ont aime
et ce a dessein
mon nom tombe de l'omnibus
A
La première
Rue
Secondaire
Je tourne mon dos
Et parle d'hommes que j'ai aimes
Et,a dessein
Je le fais tomber
De l'omnibus
A
La
Première
Rue
Secondaire

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